L’idée de customiser des masques ou d'en peindre n’est pas récente dans le travail de Tarek puisque il avait déjà réalisé quelques pièces dès 2010. Lors de son séjour au Cameroun, en 2017, il a peint des murs dans des écoles au ministère du tourisme. Il a également partagé sa passion avec d’autres peintres camerounais qui ont participé aux fresques murales. Sur place, il a pu faire l'acquisition de nombreux masques africains qui ont été des sources d'influence pour son travail. De retour en France, il a customisé une partie de ceux-ci et peint une grande série de toiles intitulée Masque(s) exposée à la galerie Philippe Gelot (Paris 4e) et à la galerie Kvasnevski (Paris 17e).
Ce thème lui tient à cœur depuis longtemps que ce soit en peinture, en bande dessinée ou encore en muralisme.
L’idée de customiser des masques ou d'en peindre n’est pas récente dans le travail de Tarek puisque il avait déjà réalisé quelques pièces dès 2010. Lors de son séjour au Cameroun, en 2017, il a peint des murs dans des écoles au ministère du tourisme. Il a également partagé sa passion avec d’autres peintres camerounais qui ont participé aux fresques murales. Sur place, il a pu faire l'acquisition de nombreux masques africains qui ont été des sources d'influence pour son travail. De retour en France, il a customisé une partie de ceux-ci et peint une grande série de toiles intitulée Masque(s) exposée à la galerie Philippe Gelot (Paris 4e) et à la galerie Kvasnevski (Paris 17e). Ce thème lui tient à cœur depuis longtemps que ce soit en peinture, en bande dessinée ou encore en muralisme.
