Deux expositions SOLO à BLOIS
A l’Hôtel de Ville en lumière du jour
A la salle Joséphine Baker en luminescence, rue de la Voûte du Château
Si le marché de l’Art Actuel était aussi prospère que ces Camélias de mon jardin d’Eden du 9.3 , nous pourrions fêter un nouvel âge d’or, mais tout cela est bien loin derrière nous.
J’avais observé que l’après covid avait provoqué un élan porteur vers l’ouverture de nouveaux lieux d’expositions, mais je constate aujourd’hui que beaucoup ferment déjà et ne peuvent tenir leurs promesses souvent pour des raisons financières.
Nous, les artistes et la maison des artistes militante, n’avons toujours pas obtenu la défiscalisation auprès de l’état, des achats d’oeuvres d’art par les simples citoyens que nous sommes et le marché dissident de l’art contemporain continue à ramer. Nous devons continuer à créer nos propres opportunités pour montrer notre travail et puiser à l’intérieur de nous les ressources nécessaires pour ne pas baisser les bras…